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MAMY RAVELOMANANA | Prêt à poursuivre les réformes



Le Professeur Mamy Ravelomanana brique un second mandat à la tête de l’Université d’Antananarivo. Le candidat estime qu’il n’a pas à rougir de son bilan et veut poursuivre la travail pour achever les réformes déjà mises sur les rails.
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Mamy Ravelomanana est professeur titulaire, agrégé des Universités en Sciences Economiques. Docteur en Sciences Economiques de l’Université de Paris-Nanterre, ce sortant des classes préparatoires aux Grandes Ecoles Mathématiques Supérieures – Mathématiques Spéciales au Lycée Janson de Sailly à Paris, est aussi Ingénieur Statisticien Economiste de l’ENSAE-CESD (Ecole Nationale de la Statistique et de l’Administration Economique), et titulaire d’un DEA de Mathématiques Appliquées de l’Université de Paris-Dauphine.

Vice-Lauréat de l’Agrégation de Sciences Economiques du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) en 2005 et membre correspondant de l’Académie Malgache, le Professeur Mamy Ravelomanana a été  Directeur du Centre d’Etudes Economiques de l’Université d’Antananarivo et Chef du Département Economie avant de prendre la présidence de l’Université d’Antananarivo.

Cet ancien président du Conseil d’Administration du CREAM (Centre de Recherche et d’Etudes en Analyse macroéconomique et Modélisation), passé aussi par la Commission de Supervision Bancaire et Financière de la Banque Centrale de Madagascar, est également connu pour avoir encadré les thèses de personnalités de premier plan.

Le Professeur Mamy Ravelomanana n’est pas peu fier de son bilan à la présidence de l’Université d’Antananarivo, depuis 2019, et estime qu’il est essentiel de continuer pour achever les projets de réformes déjà initiés avec son équipe. Ces dernières années, il a sans cesse souligné que « la justice, l’équité, la transparence et la solidarité doivent être les maîtres mots dans la gouvernance de l’université ». Celui qui a enseigné en Master et en Ph.D à Rennes, Limoges, Dakar, Yaoundé, Lomé, Niamey ou encore Ouagadougou soutient en outre qu’il faut avoir l’audace d’innover pour faire bouger les lignes. 

De l’hybridation des formations à l’implication du privé dans la création des filières à finalité professionnalisante, en passant par la stratégie de coopération avec les partenaires étrangers ou encore la politique de redéploiement budgétaire, le candidat prône un réel changement de paradigme. Et rappelle, entre autres exemples, la mise en place dernièrement, en collaboration avec la Chine, de l’Atelier Luban à l’Ecole Supérieure Polytechnique de Vontovorona.
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