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AGRIBUSINESS | Un nouveau patron pour Agrival



Loic Taillandier vient de prendre la tête de la société Agrival – Agrifarm, l’une des pièces maitresses du pôle agribusiness d’Inviso Group (Ex-groupe SMTP) fondé par l’homme d’affaires Danil Ismaël. Le  fraichement nommé, un spécialiste de l’aviculture, est connu pour avoir dirigé l’entreprise dénommée La Grande Hermine (LGH) en Côte d’Ivoire.

Se présentant comme un acteur du développement territorial, Agrival - Agrifarm fait partie des poids lourds sur le marché malgache de l'alimentation animale en couvrant 15 espèces et offrant plusieurs gammes de produit (Mafonja, Tombo, Feno…). Certifiée ISO 9001, l’entreprise soutient qu’elle met au cœur de sa stratégie la qualité nutritionnelle de ses produits via son département Recherche & Développement et son propre laboratoire. 

« Les équipes d'Agrival accompagnent sur le terrain les éleveurs en leur dispensant des formations et en travaillant main dans la main pour pérenniser leurs exploitations et accroître leur rendement dans un objectif de disposer d'une production locale visant l'autosuffisance alimentaire du territoire », aime-t-on aussi à réitérer du côté de cette entreprise dont le siège se trouve à Ambohibao mais qui dispose de diverses structures de représentation à travers le pays.

La société désormais dirigée par  Loic Taillandier affirme également contribuer à atteindre les objectifs d’accompagnement de la structuration de la filière avicole à Madagascar. Dans ses fermes situées dans la commune de Talata Volonondry, Agrifarm produit puis commercialise des poussins d'un jour en ponte et en chair, reconnus par les éleveurs malagasy à travers notamment le Super Mafonja Plus.

Rappelons par ailleurs qu’Agrival-Agrifarm a signé avec le Ministère de la Pêche et de l’Economie bleue un protocole d’accord dont les objectifs principaux sont d’ augmenter la production de poissons d’eau douce, de 150 000 tonnes à 200 000 tonnes par an au lieu des 30 000 tonnes actuelles, et de professionnaliser le secteur piscicole malagasy. A ce jour, la pisciculture reste sous-exploitée dans le pays du fait d’une mauvaise structuration de la filière et d’une insuffisance au niveau de la formation et des équipements de production. Les deux parties se sont convenues de partager leurs expertises dans la mise en œuvre d’un plan d’approvisionnement en intrants, de fourniture de matériels techniques, de formation et de partage des résultats d’expérimentation au bénéfice des pisciculteurs.