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HYDROELECTRICITE | Trois sites à développer



Le gouvernement mise notamment sur Andekaleka, Sahofika et Volobe II pour augmenter la production d’énergie hydroélectrique du pays. Si le premier est bénéficiaire d’un projet de modernisation de ses équipements, le second a vu, en novembre dernier, son accord de concession avec l’Etat signé. Quant au troisième, les négociations avec le développeur du projet se poursuivent toujours. 

« L'énergie hydroélectrique est propre, même si la mise en place de centrales constitue un investissement lourd, mais elle est rentable. La durée de vie d'une centrale hydroélectrique est également longue », a fait savoir le ministère en charge de l’Energie (MEH) avant d’ajouter qu’à travers Sahofika et Volobe II, « la Grande île renforcera davantage sa production hydroélectrique qui bénéficiera à des millions de personnes ».

Selon toujours le Ministère, Madagascar possède quelques centrales hydroélectriques de diverses tailles, mais la plus grande demeure celle d'Andekaleka, construite en 1982. Et ce département ministériel d’expliquer qu’une centrale hydroélectrique est composée sommairement de trois parties principales : le barrage, la centrale et le transformateur. 

Le barrage va gérer et canaliser l'eau afin de créer l'électricité. La centrale se compose d'une ou des turbines qui vont ensuite faire fonctionner un alternateur qui produira un courant alternatif qui sera envoyé au transformateur électrique. Le transformateur va élever la tension du courant que l'alternateur produit. Cette électricité va être transportée par les lignes à haute tension... 

Par ailleurs, le MEH a donné des éclairages sur le Projet d'Interconnexion et de Renforcement des Réseaux de Transport d'Energie Electrique à Madagascar (PRIRTEM), ainsi que sur le projet de décret portant la réforme de l’entité étatique en charge de la régulation de l’électricité en ARELEC (Autorité de Régulation de l’ Electricité ), objet cette semaine d’une réunion entre le Ministère, l'Office de Régulation de l’Electricité (ORE), l’organisme allemand GIZ et le GAUFF Engeneering Consultant.