Ambatovy, représenté par son Vice-Président en charge du Développement Durable, Philippe Beaulne, et le Bureau National de Gestion des Risques et Catastrophes, représenté par son Directeur Général, le Général Elack Olivier Andriakaja, viennent de signer une convention de collaboration sur la préparation et la réponse aux risques industriels liés aux activités d'Ambatovy.
Selon les explications fournies par la plus importante compagnie minière opérant à Madagascar, cette convention d'un an vise avant tout à définir les termes de la collaboration convenue entre les deux parties en matière de préparation et de réponse aux risques industriels. A cet effet, il élaborera un Plan Particulier d'Intervention (PPI) pour le District de Moramanga, actualisera celui de la Préfecture de Toamasina, et conduira des exercices de simulation pour les tester tous les deux.
Toujours selon Ambatovy, cet accord de collaboration renforcera également les capacités du personnel de l’entreprise impliqué dans les réponses aux risques industriels en matière de gestion des risques et des catastrophes et renforcera les systèmes d'information du public et d'alerte communautaire.
Ambatovy apportera l'appui technique nécessaire à la réussite de ces activités, et après concertation entre les deux parties, apportera un appui financier pour couvrir les différents frais liés à la mise en œuvre de l'activité.
Pour sa part, le BNGRC entreprendra - avec les partenaires clés de la gestion des risques industriels à Madagascar - la planification opérationnelle conjointe des activités de préparation et de réponse aux risques industriels à Toamasina et Moramanga. Il coordonnera également l'élaboration et la mise à jour du PPI, les exercices de simulation et le renforcement des capacités du personnel d'intervention d'urgence industrielle à Toamasina et Moramanga.
« La signature de cet accord de collaboration avec le BNGRC souligne l'importance qu'Ambatovy accorde à la santé et à la sécurité de ses employés et des communautés environnantes », a conclu la compagnie minière qui, par ailleurs, vient aussi de renouveler pour une durée de 5 ans, la convention avec Conservation International portant sur les mécanismes de collaboration, d'appui et d'échange entre les deux parties en matière de conservation et de gestion rationnelle et durable des ressources naturelles à l'intérieur et autour du massif forestier d'Ankerana.