Selon l’EDBM, le dialogue public-privé a été précédé d’une réunion du secteur privé qui a permis d’identifier les problématiques rencontrées par les opérateurs ainsi les pistes de solution et de confirmer les engagements en contrepartie de la mise en place des mesures incitatives. Sur la base des problématiques et des propositions du secteur privé, une réunion public-public a été organisée afin d’aligner la position et les engagements de l’administration avant la rencontre public-privé.
A l’issue des consultations, « des points de convergence et des points de divergence ont été identifiés et a conduit à la tenue du dialogue public-privé proprement dit », a-t-on rapporté avant de noter que l’objectif premier est d’apporter des précisions sur les points de convergence et définir un plan d’action pour la mise en œuvre des décisions.
Il s’agit également de discuter et d’changer sur les points en suspens ou de divergence et définir le plan d’action de mise en œuvre des décisions, de recueillir les engagements de chaque partie prenante pour la promotion des énergies renouvelables et de définir les modalités opérationnelles de mise en œuvre et de suivi du plan d’action.
L’EDBM qui a aussi indiqué que le Dialogue public-privé implique des entreprises et groupements d’entreprises dans le secteur de l’énergie renouvelable (AOPEM, GDPEM…) et les services ministériels concernés (Energie, Finances, Impôt, Douanes, Primature, Office de régulation de l’électricité, Agence de Développement de l’électrification rurale…).