Alors que la quasi-totalité des pays du continent, dont Madagascar, soutiennent aujourd’hui la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), le processus d’intégration commerciale avance encore à pas comptés, en raison notamment des craintes liées à la diminution des recettes douanières des Etats, de la persistance de barrières non tarifaires et des contradictions nées des multiples engagements commerciaux régionaux, selon un rapport publié le 23 janvier 2025 par le think tank The South Centre.