La marque Novotel, dans le cadre de son engagement à accompagner ses hôtes dans « leur quête d’équilibre », a conclu une convention de trois ans avec le Fonds Mondial pour la Nature (WWF) afin de promouvoir la protection et la restauration des océans. « Ces initiatives sont essentielles pour l’équilibre de la planète et seront réalisées au travers d’actions scientifiques et de projets de préservation », a-t-on aussi fait savoir.
Novotel, marque fondatrice du
groupe Accor et enseigne bien connue dans la Grande Ile depuis son implantation dans la capitale malgache il y a quelques années, a annoncé le lancement d’un partenariat international avec le
WWF qui verra
Novotel devenir un défenseur de la protection et de la restauration des océans. Les actions prévues sont basées sur la science et le soutien à des projets de conservation du
WWF, la première organisation environnementale dans le monde qui œuvre pour construire un avenir durable, pour les populations et la nature.
Au titre de cette convention trisannuelle (2024 à 2027), le WWF apportera à Novotel une expertise technique pour aider les hôtels de la marque à contribuer à la préservation des océans et à faire évoluer leurs pratiques et de nombreux aspects de leur exploitation. Dans le cadre de ce partenariat, Novotel soutiendra aussi plusieurs projets majeurs de conservation des océans portés par le WWF à travers le monde.
« L’équilibre est, de longue date, une valeur chère à la marque Novotel, qui s’exprime tant dans sa volonté d’aider ses clients à concilier travail et vie privée que dans ses fondamentaux opérationnels. La priorité donnée par l’enseigne à la protection des océans s’inscrit dans la continuité de son engagement en faveur de toutes les formes d’équilibre. Les océans représentent les plus grands puits de carbone au monde et sont les fondements de l’équilibre de la planète car régulateur du climat et protecteur de la faune et des habitats marins », a indiqué le Groupe Accor dans un communiqué.
Novotel va ainsi élaborer un plan d’action scientifique sur trois ans, fondé sur trois des actions prioritaires des
Nations unies concernant les océans, à savoir : la réduction de la
pollution marine et de l’acidification des
océans, notamment dues aux activités terrestres ; la lutte contre la surpêche et la valorisation de solutions pour une pêche durable ; et l’amélioration des connaissances scientifiques et de la recherche en matière de santé des océans.